Google vient d’ajouter une nouvelle fonctionnalité à son moteur de recherche qui permet de retrouver des messages Twitter traitant d’un sujet depuis mars 2006, date de création du service de micro-blogging.
Il suffit de taper un ou plusieurs mot(s)-clé et de lancer la recherche pour consulter les tweets postés depuis l’apparition du premier message correspondant. Dans la page de résultats Google, cliquez sur « Afficher les options » et sélectionnez « Mises à jour ». Pour l’heure, dans la version France, les posts les plus récents sont affichés. Plus tard, un historique s’affichera sous forme de diagramme. Le graphique montre le volume de l’activité sur Twitter sur le sujet. Dans ce tableau, vous pourrez sélectionner l’année, le mois ou le jour, ou cliquer sur n’importe quel point pour voir les tweets sur une période spécifique. Une fonction qui permet d’observer les réactions des internautes à un événement donné ou la réputation d’une marque, par exemples. Une avancée pour les abonnés du site de microblogging, qui propose seulement à ses utilisateurs de remonter jusqu’à 3 200 tweets maximum.
La recherche nominative est possible également. Ce nouvel accès aux archives peut donc être compromettant pour certains… D’autant plus que Google se décharge complètement arguant qu’il n’affiche que les tweets publics. C’est donc à vous d’effectuer la recherche et de demander à supprimer le cas échéant les propos indésirables…
Depuis un mois, le site PagesBlanches intègre dans ses résultats de recherche les profils des réseaux sociaux Copainsdavant, Facebook, LinkedIn, Trombi, Twitter et Viadeo. Cette nouvelle fonctionnalité permet d’optimiser la recherche de particuliers sur le site qui devient ainsi une sorte de « méta-annuaire » de personnes (adresse postale, téléphone fixe ou sur IP, mobile, mail, profils sociaux…) qui se rapproche de 123People, récemment acquis par le groupe PagesJaunes. Une seule condition à l’affichage de ces profils : que la personne ait indiqué ses nom et prénom sur ses différents profils. PagesBlanches n’agrège ainsi que des informations qui permettent une identification efficace de la personne en question, les pseudos et avatars ne sont pas pris en compte. Le tri des informations est affinée grâce à de nombreux critères (école fréquentée, zone géographique, employeur…), disponible à gauche de la page des résultats de recherche sur ces profils sociaux.
PagesJaunes indique que, conformément aux recommandations de la CNIL, le site donne la possibilité aux internautes de demander la suppression de leurs profils sur le service PagesBlanches.
Sources : Blogs Google – 123people
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